Ca faisait un petit moment que je n'avais pas posté sur le theme de la nurserie. C'est chose faite avec cet adorable/incroyable lit pour nourisson...
Le bubble bed a été créé par Lana Agiyan et vous pouvez voir plus de photos sur le blog knstrct.com
lundi 24 septembre 2012
jeudi 13 septembre 2012
Mea Culpa
Bon, je ne dis pas que je reviens totalement sur ce que j'ai dit concernant la campagne contre le faux, menée par ELLE Decor UK et les magasins CONRAN. Je continue à penser que la manière dont ils s'y sont pris est bancale. Mais apparamment, ça a porté ses fruits puisque le gouvernement britannique à revu ses lois concernant la propriété intellectuelle (dans le domaine du design).
La longue explication que donne la redactrice et initiatrice, Michelle Ogundehin , confirme cependant le fait que leur maniere de s'y prendre ne s'adresse pas au public qu'ils disent viser, sans parler d'une bonne grosse dose d'hypocrisie.
La longue explication que donne la redactrice et initiatrice, Michelle Ogundehin , confirme cependant le fait que leur maniere de s'y prendre ne s'adresse pas au public qu'ils disent viser, sans parler d'une bonne grosse dose d'hypocrisie.
Vous pouvez lire ici l'article original pour plus d'infos sur le pourquoi de la campagne et ses résultats, le tout en VO (anglais). Pour ceux qui ne maitrisent pas la langue de Shakespeare la traduction de l'article paru sur le blog du Elle Deco UK suit ci-dessous...
Tout ça c’est très bien, mais je ne suis pas designer.
Qu’est-ce que ça a à voir avec moi? Le nombre de designers est estimé à 250.000 dans ce pays
(Grande Bretagne), ce qui veut dire, que si vous n'êtes pas designer, vous
connaissez certainement quelqu'un qui l'est. Notre campagne concerne ces
personnes et n’a rien à voir avec la notion de profit. Ce sont les designers
qui nous rendent la vie plus facile, plus simple, plus confortable et plus
belle pour qu’on est pas à se préoccuper de notre environnement. Ne méritent-ils pas un peu de
respect? De plus, les industries de la création sont une part importante de
l'économie du Royaume-Uni, contribuant à 5,14% de l'emploi en Grande-Bretagne,
10,6% des exportations et 2,9% de la valeur ajoutée brute. Si les designers
continuent à recevoir une aussi piètre protection, qui va avoir envie
d’excercer ce métier? Pour l’économie, c’est aussi une perte considérable
d’argent et une réelle perte de création d’emplois. Certes, le design est avant
tout une passion pour ceux qui exercent cette profession, mais cela ne doit pas
exclure une juste reconnaissance de leur travail.
D’accord, mais à la fin de la journée,
est-ce que les idées ne sont pas juste là, je veux dire, est-ce qu’on ne peut
pas juste tous en profiter? Une bonne conception et de
grandes idées sont bénéfiques à tous bien sûr, mais comment vous sentiriez-vous
si vous aviez consacré votre vie à concevoir quelque chose qui ait changé le
monde, ou tout simplement rendu les choses plus belles, et que personne ne vous
en donne crédit? Qui va vous rémunérer pour tout ce travail de conception?
Pensez-vous que c'est juste? Est-ce que ce n’est pas mieux de reconnaître qui a
eu l’idée en premier, qui a collaboré avec qui, et de le reconnaître en
conséquent ? De plus, en réponse au «mais j'aurais pu le faire »...
la seule réponse possible c’est, « Certes, mais vous ne l’avez pas fait ! ». Que ce soit le Guernica de Picasso ou la lumière
« décanteur » de Lee Broom
(largement copié), ils ont eu l’idée en premier, pas vous.
J’entends bien, mais la pétition concerne
quoi alors ? Le but de la pétition « ELLE Decoration Equal Rights for
Design » (Pétition pour l’égalité des droits de propriété pour le design)
est d'inciter le gouvernement à se pencher sur l’inégalité de la protection
intellectuelle entre les différentes disciplines artistiques.
Whoa, ça va trop vite, qu'est-ce que vous
entendez par « propriété intellectuelle »? La
propriété intellectuelle signifie tout simplement que l’on reconnaît aux
créateurs certains droits exclusifs afin de protéger leurs idées. Le plus
délicat étant que ces «idées» sont souvent intangibles, à la différence de
briques et de ciment. Néanmoins, la musique, la littérature, certains mots,
certaines phrases ou symboles sont déjà communément reconnus comme propriétés
intellectuelles et régulièrement protégés par des droits d'auteur, par des
marques, des brevets, des dessins industriels et même des secrets commerciaux
dans certains cas.
Ok, ça semble assez compréhensible, alors
c'est quoi le problème avec le design? Au
Royaume-Uni, l'art, la littérature, le cinéma et la musique bénéficient d'une
protection automatique extensible 70 ans après la mort de (des) auteur(s)
d'origine. Alors que pour le design, les
modèles enregistrés ne sont protégés uniquement qu’à partir de la date
d'émission du brevet et sa durée est d'à peine 25 ans. Pis encore, si votre
travail n'est pas enregistré (les coûts empêchent parfois les jeunes créateurs
d’immatriculer toutes les modifications d’un produit), la protection ne dure
que trois ans!
Ça semble un peu hypocrite ... Exactement, vous avez tout compris! A l'origine, la protection était faible
car elle était uniquement destinée à protéger des choses comme des pièces
automobiles ou des composants industriels. A l’époque, ceux qui ont fait ces
règles s’imaginaient que trop de protection ferait obstacle au progrès
industriel. Que les inventeurs se reposeraient sur leurs lauriers et ne
prendraient pas la peine de continuer à innover si ils continuaient à être
payés pour quelque chose qu'ils auraient déjà fait.
Ce n’est pas non plus faux. Pourquoi
devrait-on être payé pour une chose que l’on a fait des années
auparavant ? Dans cette logique, pourquoi les Beatles
qui sont toujours en vie continuent de profiter du travail de leur carrière
passée? Ou pourquoi JK Rowling continuerait-elle à toucher des royalties sur les
premiers volumes de Harry Potter? Ou bien pourquoi le patrimoine de la famille de
Picasso est toujours protégé? C’est à double tranchant. Et la question que nous
posons, c'est pourquoi protéger certaines disciplines plus que d'autres? En outre,
nous mettons en exergue le fait que la loi est en décalage avec ce qui constitue
actuellement la notion de design, en d'autres termes, nous voyons le design comme
résultant du même effort que la peinture ou l’écriture . Il ne s'agit plus de
visses et de boulons, mais de la capacité de créer. Alors, pourquoi le design
serait-il considéré comme indigne de protection? Est-ce que le travail des
designers implique moins d’efforts, moins de compétences ou de jugement (les critères
d'éligibilité au droit d'auteur) que les auteurs, les musiciens ou les artistes?
Mais au moins, les designers bénéficient d’une
protection. Ils peuvent toujours poursuivre en justice une personne qui aurait
volé leur travail ? Bien sur, mais le domaine du
design n’est attaquable qu’en court civile et non pas en court pénale. Et c’est
souvent le combat de David (le jeune designer) contre Goliath ( le copieur), le
plus souvent, c’est la banque qui abandonne les poursuites faute de temps,
d’argent et d’intérêt. Le fait est qu’il y a trop de cas enregistrés de petites
compagnies en dépôt de bilan, dû aux coûts écrasants d’un procès pour copie. Et
même s’ils gagnent le procès, l’infraction n’est pas considérée comme
criminelle. Donc, aller devant le juge n’est pas réellement dissuasif pour ceux
qui continuent à se faire de l’argent sur le dos des vrais concepteurs. En
théorie, la protection légale existe, mais en pratique, elle est inutile. C’est
aussi la raison pour laquelle les jeunes designers qui exposent leur travail
dans les salons et les foires dans l’espoir de se faire remarquer et de se
faire embaucher, voient leurs designs sur le marché avant même d’avoir pu faire
développer un prototype. Encore une fois, même s’il y a une preuve réelle de
copie et les fonds nécessaires pour attaquer en justice, ils ne le feront pas
de peur de se fermer des portes dans le milieu. Si nous ne protégeons pas nos
jeunes designers, c’est l’avenir de l’industrie du design qui est condamnée. Et
nous ne voulons pas perdre l’héritage du design britannique, comme nous avons
perdu notre héritage industriel.
Très bien, je comprends comment cette
situation de non-protection peut nuire aux jeunes designers. Mais qu’en est-il
des vieux concepts ? Je veux dire que les designers sont morts depuis
longtemps, alors pourquoi je devrais m’en préoccuper ? Ce sont simplement les éditeurs qui profitent et s’engraissent sur des
rééditions ? Non, pas vraiment. La licence accordée pour la production du
travail de ces designers, implique la responsabilité de protéger et de
maintenir ces héritages au bénéfice des historiens, de l’intérêt général du
design, des étudiants et des futures générations. Ces héritages peuvent prendre
la forme de fondations (voir détails à la fin de l’article), de musées dédié à
l’œuvre ou à l’auteur, ou de maisons privées. Les éditeurs paient aussi des
royalties aux descendants et n’oublions pas que dans beaucoup de cas, c’est
éditeurs réalisent le rêve des designers défunts. C’est pourquoi on peut dire
dans le cas du mobilier que les
fabricants ont le droit de se rémunérer. Dans le cas d’un écrivain, le
fabricant n’est rien d’autre que son éditeur. Pour le musicien, c’est le producteur
ou la maison de disque etc. En d’autres termes l’artiste/designer et le
produceur/éditeur/fabricant sont partenaires. L’un ne peut pas exister sans
l’autre. Ne méritent-ils pas (les éditeurs/producteurs/fabricants) une
contrepartie ? Après tout, nous de demandons pas une protection ad
infinitum, mais juste une réévaluation de la protection de la création à
hauteur des droits pour la musique ou la littérature.
Qu’en est-il des compagnies qui acquièrent
des licences plus tard ? Pourquoi profiteraient-elles alors qu’elles ne
sont pas liées au designer d’origine ? C’est
exactement la même chose que pour le lien direct entre fabricant et designer.
La nouvelle compagnie hérite de la responsabilité inhérente à l’héritage du
designer et n’a la permission de produire que conformément aux plans originaux.
De plus, certains fabricants ont enrichi notre héritage en sortant de l’ombre
des designers moins connus, empêchant ainsi qu’on les oublie. Ceci étant
particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de petits édieurs ne produisant qu’un
seul produit. La pérénité du succès n’est jamais garantie. C’est pourquoi les
bons fabricants réinvestissent constamment dans la recherche et le
développement permettant aux nouvelles générations de créer les classiques du
futur. Les voleurs d’idées court-circuitent ce système. Ils ne se préoccupent
que de profits personnels à court termes.
Mais la plupart des classiques produits
aujourd’hui ne sont pas « originaux ». Ils sont modifiés du fait de
l’évolution de l’outil de production, donc à moins d’être un petit veinard et
de tomber sur un produit d’époque, nous achetons tous des reproductions.
Comment définissez-vous la notion d’authenticité ? Ne confondons pas deux problèmes très différents : 1. Qui possède les
droits de reproduction et 2. Le fait que même des modèles, même sous licence
peuvent être différents des premières versions.
Authentique, selon les termes de notre discussion à
propos de la propriété intellectuelle signifie fabriqué par l’usine ou la
compagnie qui possède les droits de reproduction du design. Et j’utilise le mot
« reproduction » délibérément, car oui, aujourd’hui, les produits
fabriqués peuvent avoir bénéficié d’un petit coup de pouce de la part du
progrès technologique, comme par exemple l’amélioration de la sécurité sur
certains produits. Prenons l’exemple de la chaise Barcelona conçue pour le
pavillon allemand de l’exposition universelle de 1929. Il est à peu près
certain qu’elle fut produite par plusieurs usines différentes avant que Mies
van der Rohe n’en vende les droits à Knoll en 1953. Les 6 modèles extrèmement
rares produits pour ce pavillon sont de fait complètement différents des
chaises produites aujourd’hui. Le revêtement était en peau de porc au tout
début, le cadre était un assemblement complexe. Mais ces détails sont sans
intérêt., le résultat étant que seul Knoll est autorisé à reproduire le fauteuil
ou à le modifier avec l’accord de la fondation Mies. Et chaque fauteuil
fabriqué par Knoll est estampillé d’une signature, d’un numéro de série, d’un
estampillage et d’un logo. Tout Barcelona sans ces points d’authenticité sont
des faux.
Est-ce qu’il y a des modèles qui n’ont
jamais changés ? Oui, la famille Thonet n’a
jamais vendu les droit de leur chaise de café en bois cintré. Elle est toujours
produite comme l’original, par la même usine, avec les mêmes méthodes vieilles
de 150 ans. Les bénéfices reviennent directement à la famille.
Mais beaucoup de ces classiques sont vraiment très
chers. Pourquoi les plus riches seraient-ils les seuls à pouvoir se les
offrir ? Ce n’est pas une question d’argent, mais une question de
désir. Certaines pièces sont devenues les symboles d’un style de vie
« design ». Ce sont, ne l’oublions pas, des objets de luxe et n’ont
jamais été conçues dans un souci démocratique . Tout comme tout le monde
ne peut pas s’offrir un sac Hermès ou une robe Roland Mouret d’ailleurs. Il
faudrait encourager les gens à dépenser ce qui est dans leurs moyens et
certainement pas plus que ce le coût qu’ils estiment pour un objet. Mais il
faudrait aussi développer la confiance nécessaire pour être orginal dans ses
choix. Oui une lampe Arco, un fauteuil Eames ou une chaise Barcelona sont des
objets exclusifs, mais ce ne sont pas les seules chaises ou lampes au
monde ! tout comme le sac Birkin n’est pas le seul sac à main de la
planète.
Mais je veux vraiment une chaise Eames et
je en peux pas me payer l’original !
J’aimerais avoir une Austin Martin, mais je ne peux pas me l’offrir, je conduis
donc une voiture un peu moins luxueuse. Je ne possèderai certainement jamais
d’Austin, et ne connais personne qui puisse d’ailleurs, mais ça n’empêche que
je n’irai jamais en voler une. Je peux désirer, mais pas forcément posséder. La
vie est ainsi faite. Des fois ça craint.
Mais si le voleur peut produire à un coût
moindre, pourquoi le fabricant légal ne le peut-il pas aussi ? expliquez
moi comment un fauteuil authentique certifié et produit par Knoll est vendu
dans le commerce à plus de 4 000£ et que quelqu’un d’autre vende la même chaise
à 400£ ? Réfléchissons un moment : pour vendre la
chaise à un prix aussi dérisoire, cela signifie que certaines étapes de
production ont été supprimées. Ce sera par exemple une mauvaise qualité de cuir
qui ne sera pas utilisé sur toute la surface du coussin (pratique répandue qui
consiste à substituer le revêtement par quelque chose de plus cheap, pensant
que vous n’irez pas regarder en dessous), un cadre qui va être branlant,
l’acier utilisé de mauvaise qualité, plus fin que celui utilisé sur les chaises
d’origine (qui doit être de 12mm d’épaisseur), le coussin sera fait d’une
mousse de mauvaise qualité qui rend l’assise inconfortable, les boutons seront
mal cousu, etc…vous avez compris…
Mais ils sont identiques, alors quel est le
problème ? Ils sont certainement identiques si
vous les prenez séparément. Mais si vous les mettez côte à côte comme nous
l’avons fait dans la vitrine du magasin Conran (voir les photos sur notre
compte FB), vous verrez immédiatement la différence. Mais c’est avant tout le
confort et la durabilité qui sont mis à mal. Si la mousse utilisée est de
mauvaise qualité, l’assise sera inconfortable. Une vraie chaise aura une assise
dans laquelle vous vous laissez engloutir, pas une assise qui vous fait sauter
hors de la chaise. De plus, combien de temps pensez-vous qu’une chaise devrait
durer ? Un original se transmettra de génération en génération, vieillissant
avec charme, prenant de la patine et du caractère. Et il ne perdra rien de sa
valeur. Il faut les envisager comme un héritage, un investissement qui vous
accompagnera toute votre vie, un peu à la manière d’une peinture, la
fonctionnalité en plus. Donc, si on considère leur durabilité, ils sont plutôt
économiques une fois l’investissement fait. Au contraire, la copie aura l’air
minable après tout juste 6 mois et se retrouvera à la benne 1 an ou 2 plus
tard. Vous pouvez tout aussi bien jeter directement votre argent sans vous
encombrer d’un achat.
Mais si je le veux juste pour 1 an ou 2,
justement, parce que je suis à fond dans la tendance maintenant ? Alors peut-être que vous serez sensible au coût humain de votre
inconstance. La seule autre possibilité pour réduire les coûts de production,
c’est de réduire le coût de la main d’œuvre. Oubliez la sécurité des conditions
de travail, une paye équitable pour les travailleurs, en supposant que ce n’est
pas en plus du travail d’enfants, aux oubliettes les législations écologiques,
la gestion des déchets, et j’en passe… Tout ça, ignoré, permet des prix super
compétitifs, mais quel est le coût des ces irresponsabilités à long
terme ? De plus, ces compagnies ne partagent rien. Elles ne reversent
aucun bénéfices aux héritiers, fondations ou aux futurs designers qui auraient
bien besoin d’un petit coup de main. Sans parler des entreprises et des emplois
qui sont menacés et dont les usines ferment à cause d’une concurrence déloyale.
Et vous, consommateurs, êtes dupes, si vous pensez que vous investissez dans quelque
chose qui le mérite, alors que c’est un faux. Il s’agit de notre qualité de vie
et de la qualité future de notre existence qui est en jeu.
Ok, bon, vous avez touché ma conscience. Mais je ne
peux pas trouver ce que je veux pour le montant que j’ai à dépenser ?
C’est là que nous, à ELLE Decor britannique, nous devons nous améliorer. Nous
nous engageons à trouver ces objets « style-pour-moins-cher » que
vous aimerez tout autant, ainsi que les classiques de demain qui vous permettrons
d’injecter un peu d’originalité dans votre intérieur tout en investissant
raisonnablement si vous en avez les moyens. Il existe un tas de produits
formidables et personne ne devrait avoir à acheter des faux. Ils ne méritent
pas notre attention et vous, consommateurs, valez mieux que ça.
Ok, ça marche. Je suis convaincu, plus de faux pour moi.
Hourra ! Allons acheter heureux en sachant que non seulement nous
consommons intelligemment, mais qu’en plus nous protégeons le design made in
Grande-Bretagne. En raison de l'hypocrisie de nos lois sur le copyright, nous
sommes actuellement la capitale européenne du problème, ce genre de duplicité
étant illégale dans la plupart des autres pays européens, les voleurs sont
principalement basés au Royaume-Uni. Y’a pas de quoi en être fier? Mais s’il n’y
a pas de demande, il n’y a pas d'offre, donc si vous achetez un original
fabriqué en Angleterre, alors vous faites d’une pierre deux coups.
Ok ! Assez. N’oubliez pas de signer notre
pétition ! Ajoutez votre nom, et une dernière chose : Les 4
classiques les plus copiés sont : La chaise de repos de Charles et Ray
Eames créee en 1956, ; La lampe Arco des frères Castiglioni (1962), la
ci-nommé chaise Barcelona de Mies, et la chaise œuf de Arn Jacobsen
(1958) ; Tous sont sous licence et les fabricants cités plus bas
contribuent et supportent l’héritage de ces designers en reversant des
royalties aux fondations, musées, Archives …
- Chaise Barcelona licence détenue par Knoll. Fondation Mies van der Rohe.
- Chaise de repos Eames, Licence détenue par Herman Miller pour les Etats-Unis et Vitra pour L’Europe. La fondation Eames.
- Lampe Arco, licence détenue par Flos. Musée Atelier Castiglioni
- Chaise Œuf, licence détenue par Fritz Hansen. Archive Jacobsen
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