Ca va bientôt faire 1 an que j'ai quitté le joli petit monde de face de bouc et j'avoue que je ne m'en porte pas plus mal. Bien au contraire.
La bonne blague, puisque je viens de me lancer dans un étalage grand public via Blogger. Certe, certe... mais d'ici à ce que quelqu'un me lise, je suis tranquille...
Ce qui m'a décider à larguer ma vie sociale virtuelle?
Ben qu'elle soit virtuelle, justement.
Sans compter le nombre incroyable de commentaires inintéressants et parfois blessants, l'inutilité et la perte de temps que j'y passais. Je ne vous parle même pas de la mauvaise image que ça me renvoyait: Voyeurs vs. exhibitionnistes.
Je me suis surprise à penser que la vie des autres était plus belle, plus excitante, plus intéressante... Une machine à brouillard, en quelque sorte, une vitrine ou chacun essayait de se vendre en se montrant sous son meilleur jour. Toujours plus beau, toujours plus fun, toujours plus, plus, plus.
Certe, il y avait de bons cotés; comme de rester en contact avec des connaissances a qui on a pas forcément envie d'écrire (mais alors, à quoi bon?).
Et puis, d'un point de vue commercial, c'est un média gratuit; difficile d'y échapper quand on cherche à se faire connaître.
Alors comment faire pour réduire le temps passé et comment se protéger de ces intrusions inutiles dans notre espace privé? Apartment Therapy propose quelques solutions. Si vous êtes anglophones vous pouvez lire l'article ici.
De mon coté, je suis en train de lire "The Cult of the Amateur: How blogs, MySpace, YouTube, and the rest of today's user-generated media are destroying our economy, our culture, and our values" d'Andrew Keen (Dispo en anglais sur Amazon). Je n'en suis qu'au tout début et je trouve le sujet fascinant.
Et vous? Comment consommez-vous ces nouveaux réseaux sociaux?
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