mercredi 30 septembre 2015

Humanité


Juste envie de partager ça aujourd'hui. Pour l'histoire, pour l'émotion.

Bonne Journée

lundi 28 septembre 2015

Obsession du moment #2

Illustration: Parisienne


Ecouter des webinars!

Pour ceux qui ne savent pas ce que sont les webinars, ce sont des conférences en ligne, à écouter en direct (ou différé, ça dépend) avec possibilité de poser des questions, pendant ou après, via un chat-live (ouhlaaaa, désolé pour les anglicismes).

Je dois dire que je partais dubitative, mais le fait est, que je les trouve franchement efficaces.
Le but de ces conférences gratuites, soyons honnête, c'est de vendre du coaching. Je ne suis pas dupe sur leur caractère incomplet. Mais c'est une source d'infos accessibles à tous, qui mises bout à bout permettent d'illuminer un peu plus clairement le chemin qui mène au succès.
Forcément, il y a des blancs à remplir et certaines informations manquent, ce qui réduit la vision globale du processus,mais bon...

Résultat du weekend: insomnies dû au déferlement d'idées pour de nouvelles collections, pour des e-produits à proposer sur mon (futur) site, et surtout l'élaboration d'une stratégie marketing pour promouvoir toutes ces merveilleuses idées. Autant dire que je suis super excitée!

Je me ferai un plaisir de vous informer de l'évolution de cette très excitante aventure! (en espérant qu'elle voit le jour)

J'avais aussi dit que je réactualiserais la liste de mes blogs entrepreneurs préférés. 
En voici 2 nouveaux auxquels je suis abonnée depuis cet été et qui boostent ma motivation (excepté la mise en ligne de mon nouveau site).
Ce sont encore des liens en anglais, ce qui me fait penser qu'il y a peut être un créneau à prendre pour les francophones? Qui sait?
À approfondir sans aucun doute.


  1. Trent W. Nelson. Business and life strategies for solo entrepreneurs.
  2. Kory Woodward. Branding + Design for the passionate woman.

Bonne journée

PS: Si vous en connaissez des sites français d'auto-entrepreneurs, ça m'intéresse.

jeudi 20 août 2015

Les meilleurs conseils qu'on m'ait jamais donné



  • Hire somebody you would take for dinner
  • Narrow and deep
  • Get rid of toxic people.


3 petits conseils dans le désordre, tout simple, tout bête mais qui font toute la différence pour se sentir bien dans ses baskets d'entrepreneur.
Quoi? En français s'il vous plait?

Je vous traduis et je vous explique:

mercredi 19 août 2015

Sérénité


Là, typiquement, avec ma tasse de café fumante et la petite brume qui se lève au fond du jardin à l’orée du bois (et ouais, je sais, ça en jète) (je ne mentionne même pas les mômes et Soap qui dorment- Bonheur intense et sérénité), je n’ai qu’une envie, c’est de m’installer dans une chaise longue sur la terrasse et de siroter mon nectar digne de Starbuck.
Petit problème: je n’ai pas de chaise, pas de terrasse et j’habite dans une baraque avec 2 autres familles (dont 2 vieilles croutes acariâtres qu’il me tarde de quitter).
C’est à ce moment bien précis que le tout petit bout de jardin du New Jersey me manque et que je regrette même que Chip (mon ex-voisin) ne vienne pas me taper la causette à 6h30 du mat alors que je ne suis pas habillée, mal réveillée et que j’ai plutôt envie qu’on me foute la paix à ce moment précis… 


Fin de la tranquilité, les Pout-Pouts se sont réveillés et réclament leur pitance.

Sur ce, bonne journée à tous.

jeudi 4 juin 2015

Truc de Geek



"Most inventors and engineers I’ve met are like me—they’re shy and they live in their heads. They’re almost like artists. In fact, the very best of them are artists. And artists work best alone where they can control an invention’s design without a lot of other people designing it for marketing or some other committee. I don’t believe anything really revolutionary has been invented by committee. If you’re that rare engineer who’s an inventor and also an artist, I’m going to give you some advice that might be hard to take. That advice is: Work alone. You’re going to be best able to design revolutionary products and features if you’re working on your own. Not on a committee. Not on a team."

"La plupart des inventeurs et des ingénieurs que j'ai rencontré sont comme moi - ils sont timides et vivent dans leur monde à l'intérieur de leur tête. Un  peu comme les artistes. Car en fait, ce sont des artistes. Et les artistes travaillent mieux seuls lorsqu'ils ont l'entière liberté sur leur création sans pression marketing ou autres contraintes. Je ne pense pas que quoique ce soit d'extraordinaire ait été inventé par une commission. Si vous êtes cet inventeur exceptionnel et aussi cet artiste, je vais vous donner un conseil qui va peut être vous sembler difficile à entendre. Ce conseil c'est de travaillez seul. Vous serez plus à même de créer ce produit révolutionnaire si vous travaillez tout seul. Pas en groupe. Pas en équipe."

Steve Wozniak.
Pour la petite info, Steve Wozniak, c'est le binôme de Steve Job. A eux deux ils ont créé Apple.

Je ne pourrais être que plus d'accord.
C'est en arrêtant de me prendre la tête à essayer de créer pour un "client final" ou un marché en particulier ou bien même de m'astreindre à suivre les tendances du moment que j'ai trouvé mon bonheur créatif.
Rien de plus doux que de se laisser bercer par ses envies de l'instant. Peu importe si Pantone déclare que  la couleur de la saison sera Prune, Poire ou Caca d'oie, c'est chiant de voir la même couleur partout autour de soi. Ou est l'originalité? Le choix? La folie créative? La spontanéité laisser au consommateur.
Si je fais du freelance et que je développe mes propres collections, c'est justement pour me libérer de ces contraintes stupides. Pourquoi à chaque salon spécialisé, je m'emmerde et je n'y vois jamais de nouveautés? Tout le monde fait la même chose, suit les mêmes principes dictés par des "spécialistes" qui manquent totalement d'inspiration et d'originalité. Souvent par peur de déplaire à un client imaginaire qui de toute façon a de moins en moins de tune pour s'offrir de la déco.

C'était donc le conseil de Steve Wozniak et le mien. Soyez vous-même, à bat le marketing et la pression financière sur les artistes.


lundi 1 juin 2015

Le vieux sac dans le placard

Illustrations inspirées par mes chères et tendres voisines....
On revisite le conte du Gruffalo avec les Pout-Pouts... ou comment traumatiser ses mômes avec des histoires de vieilles ladies vivant au dessus,  qui se transforment en monstres lorsque l'on fait trop de bruit.

J'avais oublié que mes enfants étaient vivants bruyants et que la vie en appartement c'était pas vraiment drôle quand on a 4 et 3 ans.

The Big Bad Mouse (Colorié par Liam)

The monster Upstairs

dimanche 31 mai 2015

architecture cosmic

Lorsque j'ai débarqué à Malaquais, je n'y connaissais rien en architecture (mais alors, rien de rien!). 15 ans plus tard, j'ai complètement décroché, mais en tombant les images du photographe Frederic Chaubin au détour d'un voyage sur la toile, ça m'a replongé dans ce qui m'a certainement le plus marqué lors de mes études: l'architecture russe d'après guerre.
J'ai le souvenir d'avoir fantasmé sur un voyage à travers le pays des Sovièts afin de voir en vrai ces symboles "monstrueux".
Ceci m'amène à penser que l'esthétisme n'est pas toujours une affaire de goût, mais aussi une affaire de culture. Si vous avez les clefs pour la déchiffrer, vous ne pouvez que l'aimer (un jour peut être, je vous parlerai de mon admiration pour Le Corbusier afin  d'illustrer ces propos) .

Malheureusement, ma culture de l'architecture soviétique s'arrête à la contemplation de ces quelques photos, je n'en connais ni les architectes, ni les fonctions. C'est de la pure contemplation et c'est très bien pour un dimanche...






plus de photos sur le site WASF.

mercredi 27 mai 2015

Des pinces et des cactus

Pour avoir travailler dans le milieu du textile pendant un petit moment (7 ans si je ne compte pas mes années de freelance), je peux dire par experience que le prix du linge de lit est proportionnel à l'ego des compagnies qui les vendent. Rien à voir avec la qualité du produit. J'ai moi-même fait les calculs de marge à l'époque et ça n'avait rien de scientifique (Youpi tralala, c'était parfois du grand n'importe quoi).

Bref, tout ça pour en venir au fait, que je n'aime pas dépenser d'argent dans les objets déco (encore une contradiction dans ma vie de designer), parce que j'ai toujours l'impression de me faire rouler. Le fait est qu'on paie le transport et le cubage du container, plutôt que que la main d'oeuvre, les matériaux ou plus encore la création... Alors, avec mes velléités écolos de développement durable et responsable, vous imaginez aisément les cactus qui me poussent dans les poches quand je vois les prix pratiqués.

Du coup, lorsqu'au détour d'un zonage sur le net, au hasard de clics et de liens, je tombe sur un de mes designs. Je dégaine la CB. Adieu développement durable, achat responsable, commerce collaboratif etc, je me lâche et j'achète sans même réfléchir. Si en plus le design est en solde et affiche un prix proche de ce que j'estime être raisonnable (proche du prix usine), et bien ça donne une hystérie jubilatoire proche de l'idiotie (MouaHaHaHA).

Pia Turquoise. Blissliving Home.

Quasiment en même temps, en faisant du shopping dans un magasin de destockage (c'est là que vous vous rendez compte que je suis super cheap), je tombe sur un autre de mes designs. Y'a pas la taille de ma couette, mais je m'en fous. Encore une fois l'hystérie me gagne et je prends le King size... (un jour peut être, aurais-je un grand lit)

Anis Yellow. Blissliving Home.

Y'a pas vraiment de morale, ni de conclusion à ce post. J'avais juste envie de partager des boulots dont je suis super fière. Blissliving Home, c'est la marque qui m'a donné ma chance en tant que designer textile et je leur dois quasiment tout ce que je sais.

La qualité des designs s'étiole depuis le départ de la DA avec qui j'avais travaillé, mais je trouve qu'ils font toujours un super boulot coté marketing et je ne peux m'empêcher de garder un oeil sur leurs collections en imaginant ce que ce serait de bosser pour eux en free?

vendredi 22 mai 2015

Obsession du moment #1

Elle & Co Blog

Lire des blogs d'entrepreneurs jusqu'à écoeurement.

J'aime bien lire leurs articles encourageants et me laisser bercer par leurs doux mots pour me convaincre que tout est simple et facile. Ils mettent un peu de paillettes et de glamour sur un truc pas franchement très fun et plutôt flippant de mon point de vue. Business can be beautiful: Ouais, si vous le dites... j'ai besoin d'enrober le tout d'un peu de douceur et de fantaisie, histoire de faire passer la pilule. Bienvenue dans mon monde de Bisounours.

Ça va bien faire 2 ans maintenant que je fais la balançoire entre "j'y vais-j'y vais pas-oui mais non, en fait, je sais pas...." à propos du lancement officiel de mon activité de studio textile.
J'ai retiré mon premier site de la toile il y a un peu plus de 6 mois: une ébauche inachevée, pas assez ciblée, pas représentative de ce que je voulais vendre. Bref, un brouillon dont je ne dois pas avoir honte. Il faut bien commencer quelque part.
Rebelotte, donc et me revoici au travail, à collecter des images, les reformater, les croper, les couper, les recolorer... AAAaaaaaah, que de graphisme, que de graphisme. J'en ai les yeux et les neurones qui piquent.
Mais finalement, les images, je dirais que c'est la partie facile. Le plus dur pour moi, étant l'exposition sociale. Entendez par "sociale", les medias sociaux.
Le fait de parler ne serait-ce qu'un mini-ultra-petit bout de qui je suis sur le net me fait me recroqueviller sur moi-même plus vite qu'une anémone de mer au moindre contact.
Je vous entends ricaner d'ici en disant:"qu'est-ce que tu fabriques à écrire un blog alors?" Hmmmm, contradictoire, je vous l'accorde.

Mais revenons à nos moutons: les blogs d'entrepreneurs.
Depuis que je me prépare mentalement à faire le grand saut, j'essaie d'y voir un peu plus clair en illuminant le chemin qui mène au succès, ou du moins, à mon autonomie financière.
J'ai tout d'abord suivi une formation en ligne dédiée à la sphère textile via The Pattern Observer. La formation m'a permis de savoir que ce type d'approche n'était pas faite pour moi. Avec mon manque pathologique de confiance j'ai besoin de concret, et si il n'y a personne pour me mettre la pression, alors, il ne se passe pas grand chose.  Mais bon, le site est bien fait et spécifique à ma profession alors ça reste un excellent support (dont je me servirai à nouveau lorsque j'aurai officiellement "commencé").

En attendant, si comme moi, vous avez besoin de petits encouragements acidulés le long de cette longue route improbable qui vous mène vers votre épanouissement professionnel, voici mon top 6 dans le désordre (livres et blogs mélangés) de ce qui tend à me réconcilier avec ma face cachée de patron. J'en ajouterai certainement en cours, mais pour le moment ce sont ceux auxquels je me réfère régulièrement et qui me filent la patate.
Oups, rien en français, désolé!